La Guerre des Quatre Nations

(Petites réglementations pour le RP: Ouvert à tous en restant sur le sujet; n'oubliez pas que c'est un jeu et que nous sommes ici pour nous amuser, donc restez fair play svp, un post sera ouvert dans la taverne pour les discutions autour du rp.....merciiiiiii).

Javier sortait du palais de l'Ambassadeur Sir Gascoigne, sourire aux lèvres, il devait faire, avec les autres Poulpes, leurs preuves pour embrasser une carrière militaire.
     Piotr s'occupa d'officialiser la nouvelle confrérie auprès des autorités administratives. Tous les Krakew, nouveau nom des Poulpes, partirent de Cockburn. Javier et Jean avaient repéré et signalé aux nouveaux Krakew, les positions des Capitaines Arthurio et Kawatorès. Javier sortit du port de Tortuga et attaqua le grand Chébec d'Arthurio, un tir de boulets ramés dans le gréement et trois tirs de mitraille sur le pont, Javier apprécia la précision de ses canonniers et ordonna de rentrer au port. Affaiblir l'adversaire était l'objectif.
     Une Course s'engagea, d'abord les Français continuaient leurs routes vers Cockburn, arrivant par l'Ouest et le Sud. La Course s'inversa quand les 2 Courageux Capitaines Français comprirent que c'était risqué car le reste de leurs compagnons étaient trop au Sud pour intervenir efficacement. Prenant la direction Sud Ouest pour Port Margot, les Krakew poursuivaient les 2 Français. Une incompréhension tactique entre certains Capitaines des Krakrew, permit à Arthurio et Kawatorès de s'échapper.
    Après cette première rencontre sous pavillon anglais, les Krakew prirent la direction plein Ouest, objectif Gran Bahama.
Arrivés à destination, sachant que les Français de la Fdlc se situaient dans la passe Sud d'Hispañolia, nous continuâmes notre route avec une étape à Florida Keys. L'accueil fut à la hauteur de notre arrivée avec le pavillon de la Couronne Anglaise, un accueil joyeux car beaucoup étaient des connaissances, Flibustiers, Boucaniers, Taverniers, Dockers, tous nous appréciaient car nous égorgions avec nos coutelas comme nous payons rubis sur ongles! Nos exploits communs et nos caractères bien trempés étaient connus des repaires comme des cités pirates.
       Les Poulpes, quelque soit leur, pavillon restaient..... les Poulpes!
  Une rumeur faisait bien rire les tavernes libres des Caraïbes, les français se plaignaient que des pavillons anglais avaient accès aux criques des repaires et cités libres! La fin de cette rumeur terminait toujours de la même façon, toute la taverne trinquaient, en criant:
       C'est pas des Anglais, c'est les Poulpes!
C'est en quittant Florida Keys direction Chiquila, que nous rencontrâmes les Fdlc. Cette histoire se passe en III actes:
Acte I:
    Javier battait toujours pavillon pirate,  c'est sur la route de Florida Keys-Caye Mujeres, que nos vigies signalèrent les Français à notre Sud. Les pigeons fusèrent de navire en navire! Le constat était simple, nous ne pouvions pas rivaliser avec les Fdlc dans un choc frontal. Dans le refus de combattre en pleine mer, à raison, et d'accélérer la cadence pour atteindre au plus vite les ports de Chiquila ou de Caye Mujeres, Javier fut rattrapé par les Fdlc.
Pas moins de 4 navires pour l'aborder! Javier et son équipage subirent l'attaque de 2 grands chébecs, une corvette de 6 et un abordage d'une frégate de 12a!
Seuls les Officiers purent joindre le canot!
 Tous mes gaillards morts! Javier ne put retenir une larme, à ce triste constat!
Arrivés à Chiquila, les Krakew armèrent de nouveaux bâtiments.

Ce matin là, une petite brise annonça la venue d'un printemps précoce.
Au port de St Martin, l'équipage du de Noordster s'activa d'arche pied pour préparer le navire à son premier voyage.
La capitaine reçu de sa nouvelle compagnie, la liste du matériel et des victuailles a monter à bord.
Etrange liste, ce dit Poudre;....c'est comme si on se préparait à faire une longue et sanglante guerre.  
-Capitaine !; dit le second, Peter Van Doren....Le navire est fin prêt pour le départ.
-Fort bien,...Mr Van Doren, prenez la barre;...que l'on descende la voilure.



La Frégate sortie du port et s'élança en direction de l'île de Saba; lieu de rendez-vous de toute la flotte de la compagnie batave.
-Quel direction prendre Capitaine ?...
-Direction Saba Mr Van Doren,...sortez la grande voile et voyons ce que ce rafiot à dans le ventre....
Que mijotait la compagnie ?; qu'est-ce qui ce préparait de si terrible ?....que lui cachait le Capitaine Jeremiah et fox ?
-Continuez comme cela Mr Van Doren, je vais dans ma cabine, prévenez moi dès que nous serons en vue de Saba....

le Tadlest vogues à pleines voiles, il vogues de port en port dans ces mers hostiles, c'est de place marchande en comptoir de commerce qu'il cherche la moindre information sur la position de la flotte de la compagnie, mais les effort sont vains, aucun relai de la compagnie n'a vent des plans ou des projets avenirs

Le long périple commence par San Andres puis San Blas, car il choisit de longer la côte, s'infiltre à Santa Marta puis mets le cap sur Aruba, Curacao, il craint une mauvaise rencontre, mais a-t-il d'autres choix?

C'est avant de joindre Saba, qu'il a enfin la première piste sérieuse, des information font état d'une lourde flotte ayant fait escale il y a quelques semaines encore ... Les Gueux! ceux de St Martin! lui dit son interlocuteurs,

Cap sur Kingston... si ça ne marche pas il n'aura qu'à s'en remet à la chance alors

la route que trace El-Raïs devait conduire le Tadlest au large de l'Ile à Vache, mais uns forte tempête le conduit plus au sud,

Il tente alors de faire cap sur Kingston, mais dérive sur trois jour de mers, ou cinq ou six, il ne saura déterminer sa position depuis ces jours de tempêtes

Se ne sera que par beau temps qu'il saura qu'il est au large de Santa Catalina

El-Raïs ordonne d'entreprendre les réparation au plus vite...

"le navire doit pouvoir faire face à toute éventualité maitre Cordoba... double ration pour "la pioche" et ses hommes"